Vanderbilt, William K., Residence.Model. Albert Levy photographer. Richard Morris Hunt archtect. Halic. INHA: Architectes et photographes au xixe siècle Sous la direction de Hélène Bocard et Jean-Philippe Garric .

 Curiosa fotografía de los fondos de la HALIC realizada por Albert Levy donde se muestra una maqueta, una enorme maqueta, de la residencia de William K. Vanderbilt ( arquitecto Richard Morris Hunt).

 El documento que les adjunto, en francés, muestra la estrecha relación entre fotografía y arquitectura en la segunda mitad del siglo XIX. 

El fotógrafo, en un principio, es simple herramienta de la labor del arquitecto que le encarga documentar su obra, tanto en ejecución , por partes o terminada. Estas fotografías, muchas de ellas, quedaron en los archivos de los fotógrafos y eso se tradujo en que su reconocimiento se produjo cuando los investigadores accedieron a dichos archivos.

Cuando los especialistas en fotografía las estudiaron se dieron cuenta de la calidad de las mismas, del detalle escogido por el fotógrafo para capturar el edificio, de su capacidad para capturar algo inerte y darle vida hasta hoy. . En resumen descubrieron a grandes fotógrafos siendo, históricamente hablando, su primer descubrimiento Baldus.


Architectes et photographes au xixe siècle

....L’usage essentiellement documentaire a fait de toutes ces photographies d’architecture des documents, et des documents souvent anonymes. On est parti de l’idée que si les photographies avaient été utilisées comme des documents, c’est qu’elles avaient été produites comme des documents. Autrement dit, le regard du photographe n’était pas une donnée à prendre en compte. Les photographies étaient censées rendre compte d’une réalité perçue comme objective. De l’usage on a déduit une intention. Cette équivalence ne fonctionne pas, comme vous le savez.

....les auteurs ont continué à être mis en valeur dans d’autres expositions qui ont eu lieu dans les années 1980-1990.


....Baldus, dont l’œuvre s’est nourrie de nombreuses commandes a été un formidable catalyseur pour rapprocher historiens de la photographie et historiens de l’architecture. Dans la monographie qui a été consacrée au photographe, l’historien Barry Bergdoll s’intéressait aux retouches que Baldus pouvait faire sur son négatif pour faire disparaître des éléments qui apparaissaient gênants pour la mise en valeur d’un monument, comme un poteau télégraphique

L’exposition « Le photographe et l’architecte », qui eut lieu au Louvre en 1995 s’intéressait à la relation entre Baldus et Lefuel à l’occasion de la construction du nouveau Louvre. Elle montrait comment le photographe avait rendu compte du travail de l’architecte, à travers la représentation de l’avancement du chantier, tout en réalisant, lui aussi, une œuvre monumentale. Baldus a saisi l’occasion de cette commande pour produire des tirages de très grand format qui restituaient la monumentalité de l’architecture
 
 En
 

Their essentially documentary use turned all these architectural photographs into documents, and often anonymous documents. The starting point was the idea that if the photographs were used as documents, it was because they were produced as documents. In other words, the photographer's gaze was not a factor to be taken into account. The photographs were supposed to reflect a reality perceived as objective. From their use, an intention was deduced. This equivalence doesn't work, as you know. The authors continued to be showcased in other exhibitions held in the 1980s and 1990s.

 

Baldus, whose work was nourished by numerous commissions, was a formidable catalyst for bringing together historians of photography and historians of architecture. In the monograph dedicated to the photographer, historian Barry Bergdoll examined the retouching Baldus could do to his negative to remove elements that appeared distracting from the presentation of a monument, such as a telegraph pole.

The exhibition "The Photographer and the Architect," which took place at the Louvre in 1995, focused on the relationship between Baldus and Lefuel during the construction of the new Louvre.

It showed how the photographer had documented the architect's work by depicting the progress of the construction site, while also creating a monumental work of art. Baldus seized the opportunity of this commission to produce very large-format prints that captured the monumentality of the architecture.