Exposiciones para ver: Fundación Juan March. El gusto moderno Art déco en París, 1910-1935
Esta es una exposición que, por supuesto, no es de fotografía, aunque hay fotos expuestas, es una exposición de un tiempo y una forma de ver el arte o vivir el arte.
El gusto moderno
Art déco en París, 1910-1935
Para empezar por fotos mencionar que podemos ver
Noire et blanche Man Ray( Véase MOMA )
Y de pintores Braque o Picasso, de cristales Lalique, de moda Chanel, de muebles...no me acuerdo de sus nombres pero si de su excepcional trabajo y diseño.
Pero es que entrar en las salas de la March, pasear entre muebles, tejidos, cristales, fotos, cuadros, encuadernaciones es sumergirnos en la belleza, el entender que el entorno podía, casi diríamos debía ser bello.
Este arte llega a todos los ámbitos y en España es, relativamente, poco conocido en el sentido de no estar muy bien representado. Debemos acudir a la Casa Lis o a Museos catalanes para tener ejemplos de estas obras.
En fin lo que quiero expresar se define muy bien en las palabras de la presentación de la web de la exposición
Lo que conocemos como art déco fue un estilo alternativo a la vanguardia: significó una modernidad más pragmática y ornamental que utópica y funcionalista y acabó convirtiéndose en el gran estilo del deseo y el gusto modernos, tan característicos de las sociedades occidentales y del capitalismo de las primeras décadas siglo XX.
Como complemento
1925 Quand l'art Déco séduit le monde. Cité Chaillot Paris.
.........En 1925, il faut être moderne. Le développement de l’aviation et de l’automobile l’exige, amenant la construction des premiers garages et aérodromes. La guerre a amené son lot de désolation. Le Nord et l’Est de la France ont besoin de nouveaux équipements et logements.
Ils sont les terres privilégiées pour les premiers exemples du nouveau style. Si l’Art Déco est souvent associé au luxe – les grands magasins et les boutiques se développent et créent leurs lignes de décoration – il est tout aussi vrai qu’il a orienté le dessin des Habitations à Bon Marché et des Cités jardins.
La femme moderne fait son apparition. C’est la garçonne qui fume, conduit, pilote des avions et choisit son architecte. Elle n’oublie pas d’être élégante et les couturiers inventent pour elle le Sportwear
. Les étrangers à Montparnasse, car Paris 1925 est le centre du monde, ont amené un levain neuf dans la vieille pâte de nos couleurs. Cubisme certes, pour un appel à un ordre géométrique, mais Joséphine Baker, laissant tomber pour un instant sa ceinture de banane, remet les pendules à l’heure en rappelant ce que l’art moderne doit à la culture africaine